Communiqués de presse Mobility 2025

Mobility Société Coopérative est fière d’annoncer une étape majeure dans son développement dans le canton de Genève: la barre des 20'000 membres a été atteinte. En seulement trois ans, le prestataire de car sharing a augmenté d’un quart le nombre d’utilisateurs et d’utilisatrices, ce qui témoigne d’un engouement croissant pour la mobilité partagée.

Cette croissance s’accompagne également d’une augmentation significative du nombre de véhicules Mobility à disposition des Genevoises et des Genevois. En effet, au cours de ces trois ans, le nombre de véhicule disponibles sur le canton a suivi la même dynamique, enregistrant une progression de plus de 23% pour atteindre 269 voitures. La part de véhicule électrique s’est elle aussi intensifiée – passant de 3% à 23%, renforçant ainsi l’engagement du prestataire de car sharing en faveur d’une mobilité plus durable et accessible.

En moyenne en ville de Genève, 1 véhicule Mobility remplace 21 voitures privées
L’impact positif de Mobility sur la réduction du trafic et la libération d’espace urbain est considérable. À l’échelle nationale, chaque voiture Mobility remplace en moyenne 18 voitures privées. En ville de Genève, le taux d’évitement est encore plus élevé que la moyenne suisse: ici, un véhicule Mobility remplace 21 véhicules privés. Si l’on réunit toutes les voitures partagées par la société coopérative en ville, on obtient environ 2'800 voitures de tourisme qui sont ainsi évitées. Pour les places de parc, cela correspond à une surface d’environ 36'000 mètres carrés, soit près de la moitié de la Plaine de Plainpalais.

«Ces résultats confirment que la mobilité partagée est une solution d’avenir. En mettant à disposition une flotte de véhicules toujours plus accessible, nous offrons une alternative efficace à la voiture individuelle», souligne Stéphanie Gonzalez, porte-parole de Mobility.

Afin de répondre aux besoins croissants de la population et de contribuer à une ville plus verte et fluide, Mobility prévoit de continuer le développement de son offre dans le canton de Genève et prévoit d’atteindre environ 300 véhicules d’ici la fin de l’année.
 

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Stéphanie Gonzalez, porte-parole Suisse romande
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Pour la première fois, un rapport indépendant montre l’effet de Mobility sur la réduction du trafic. Grâce au car sharing, il y a environ 40’000 voitures privées de moins en Suisse. Mais ce n’est pas le seul effet positif.

L’effet du car sharing sur la réduction du trafic est bien connu. Mais pour la première fois, Mobility Société Coopérative a fait analyser de manière indépendante son ampleur réelle en Suisse. Le bureau de conseil BSS Volkswirtschaftliche Beratung a donc réalisé une enquête auprès de ses membres en coopération avec la Haute école spécialisée de Suisse orientale OST. Résultat: en moyenne, un véhicule Mobility remplace 18 véhicules privés. Ce taux d’évitement est même encore plus élevé dans des villes comme Zurich, Genève et Bâle. Et même dans les zones rurales, on évite 9,5 voitures de tourisme par véhicule Mobility. Par extrapolation à l’ensemble de la Suisse, cela représente environ 40’000 véhicules de moins sur les routes grâce à Mobility. 

Fabiana Kappeler, co-auteure de l’étude, déclare: «Les personnes interrogées estiment qu’elles posséderaient nettement plus de voitures si Mobility n’existait pas. Grâce à l’offre de car sharing de Mobility, il est donc possible d’économiser d’importantes surfaces de stationnement, qui sont ainsi disponibles pour d’autres usages.» Si l’on calcule de manière conservatrice une place de parc par voiture et un besoin de surface par place de parc de 12,5 m² (qui n’inclut pas la surface de manœuvre supplémentaire éventuellement nécessaire), on obtient une économie d’environ 500’000 m² dans toute la Suisse, soit la surface de 70 terrains de football. 

Le car sharing réduit le trafic individuel motorisé
Le rapport s’est également penché sur le degré de motorisation des ménages. Dans les villes qui ont fait l’objet d’une étude, le nombre de voitures pour 1'000 personnes en ménage moyen est au moins deux fois plus élevé que dans les ménages disposant d’un abonnement Mobility. Fabiana Kappeler déclare: «Grâce à l’offre de car sharing, de nombreux clients et clientes de Mobility renoncent complètement à une voiture privée. Cela se répercute directement sur le comportement en matière de mobilité: les personnes qui ne disposent pas de leur propre voiture se déplacent davantage en transports publics, à vélo ou à pied. Il en résulte donc une réduction du trafic individuel motorisé.» 

Un argument de poids en faveur d’une mobilité partagée accrue
«Pour moi, les résultats de l’étude sont une incitation de taille pour continuer à développer notre offre», déclare Roland Lötscher, CEO de Mobility. «Si nous voulons relever les défis de la mobilité en Suisse, il faut que la part de car sharing soit nettement plus importante dans le mix de mobilité.» Pour y parvenir, Mobility entend collaborer encore plus étroitement avec les villes, les cantons, les entreprises et les complexes résidentiels. «Ensemble, nous voulons rendre la mobilité durable aussi simple que possible.»

*Le terme «périurbain» est utilisé dans l’aménagement du territoire. Il décrit les régions limitrophes de villes et d’agglomérations.
 

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Pour la première fois, un rapport indépendant montre l’effet de Mobility sur la réduction du trafic en Suisse. En ville de Genève, cet effet est particulièrement important. Ici, les voitures privées évitées rempliraient la moitié de la Plaine de Plainpalais. Pour Roland Lötscher, CEO de Mobility, la conclusion est claire.

Si Mobility n’existait pas, Genève aurait des problèmes de circulation. En effet, un rapport indépendant montre que les voitures partagées dans la ville permettent d’économiser environ 2'800 véhicules privés, et par conséquent des places de parc. 

En moyenne, 1 véhicule Mobility remplace 18 voitures privées
Certes, l’effet de Mobility en Suisse est bien connu. Mais Mobility Société Coopérative a voulu en savoir plus et a fait analyser les effets de manière indépendante. Le bureau de conseil BSS Volkswirtschaftliche Beratung a donc réalisé une enquête auprès de ses membres en coopération avec la Haute école spécialisée de Suisse orientale OST. Le résultat est impressionnant: en moyenne, un véhicule Mobility remplace 18 voitures privées. Fabiana Kappeler, co-auteure de l’étude, déclare: «Le résultat montre que les personnes interrogées estiment qu’elles posséderaient nettement plus de voitures si Mobility n’existait pas. Grâce à l’offre de car sharing de Mobility, il est donc possible d’économiser d’importantes surfaces de stationnement, qui sont ainsi disponibles pour d’autres usages.» 
En ville de Genève, le taux d’évitement est encore plus élevé que la moyenne suisse: ici, un véhicule Mobility remplace 21 véhicules privés. Si l’on réunit toutes les voitures partagées par la société coopérative en ville, on obtient environ 2'800 voitures de tourisme qui sont ainsi évitées. Pour les places de parc, cela correspond à une surface d’environ 36'000 mètres carrés, soit près de la moitié de la Plaine de Plainpalais.

Le car sharing réduit le trafic individuel motorisé
Le rapport s’est également penché sur le degré de motorisation des ménages. Il s’avère que dans les villes qui ont fait l’objet d’une étude, le nombre de voitures pour 1'000 personnes est en moyenne au moins deux fois plus élevé que dans les ménages disposant d’un abonnement Mobility. Fabiana Kappeler déclare: «Grâce à l’offre de car sharing, de nombreux clients et clientes de Mobility renoncent complètement à une voiture privée. Cela se répercute directement sur le comportement en matière de mobilité: les personnes qui ne disposent pas de leur propre voiture se déplacent davantage en transports publics, à vélo ou à pied. Il en résulte donc une réduction du trafic individuel motorisé.» 

Un argument de poids en faveur d’une mobilité partagée accrue
«Pour moi, les résultats de l’étude sont une incitation de taille pour continuer à développer notre offre», déclare Roland Lötscher, CEO de Mobility. «Si nous voulons relever les défis de la mobilité en Suisse, il faut que la part de car sharing soit nettement plus importante dans le mix de mobilité.» Pour y parvenir, Mobility entend collaborer encore plus étroitement avec les villes, les cantons, les entreprises et les complexes résidentiels. «Ensemble, nous voulons rendre la mobilité durable aussi simple que possible.»

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