Si Mobility n’existait pas, Genève aurait des problèmes de circulation. En effet, un rapport indépendant montre que les voitures partagées dans la ville permettent d’économiser environ 2'800 véhicules privés, et par conséquent des places de parc.
En moyenne, 1 véhicule Mobility remplace 18 voitures privées
Certes, l’effet de Mobility en Suisse est bien connu. Mais Mobility Société Coopérative a voulu en savoir plus et a fait analyser les effets de manière indépendante. Le bureau de conseil BSS Volkswirtschaftliche Beratung a donc réalisé une enquête auprès de ses membres en coopération avec la Haute école spécialisée de Suisse orientale OST. Le résultat est impressionnant: en moyenne, un véhicule Mobility remplace 18 voitures privées. Fabiana Kappeler, co-auteure de l’étude, déclare: «Le résultat montre que les personnes interrogées estiment qu’elles posséderaient nettement plus de voitures si Mobility n’existait pas. Grâce à l’offre de car sharing de Mobility, il est donc possible d’économiser d’importantes surfaces de stationnement, qui sont ainsi disponibles pour d’autres usages.»
En ville de Genève, le taux d’évitement est encore plus élevé que la moyenne suisse: ici, un véhicule Mobility remplace 21 véhicules privés. Si l’on réunit toutes les voitures partagées par la société coopérative en ville, on obtient environ 2'800 voitures de tourisme qui sont ainsi évitées. Pour les places de parc, cela correspond à une surface d’environ 36'000 mètres carrés, soit près de la moitié de la Plaine de Plainpalais.
Le car sharing réduit le trafic individuel motorisé
Le rapport s’est également penché sur le degré de motorisation des ménages. Il s’avère que dans les villes qui ont fait l’objet d’une étude, le nombre de voitures pour 1'000 personnes est en moyenne au moins deux fois plus élevé que dans les ménages disposant d’un abonnement Mobility. Fabiana Kappeler déclare: «Grâce à l’offre de car sharing, de nombreux clients et clientes de Mobility renoncent complètement à une voiture privée. Cela se répercute directement sur le comportement en matière de mobilité: les personnes qui ne disposent pas de leur propre voiture se déplacent davantage en transports publics, à vélo ou à pied. Il en résulte donc une réduction du trafic individuel motorisé.»
Un argument de poids en faveur d’une mobilité partagée accrue
«Pour moi, les résultats de l’étude sont une incitation de taille pour continuer à développer notre offre», déclare Roland Lötscher, CEO de Mobility. «Si nous voulons relever les défis de la mobilité en Suisse, il faut que la part de car sharing soit nettement plus importante dans le mix de mobilité.» Pour y parvenir, Mobility entend collaborer encore plus étroitement avec les villes, les cantons, les entreprises et les complexes résidentiels. «Ensemble, nous voulons rendre la mobilité durable aussi simple que possible.»
Le car sharing rend ta route plus verte
Comment pouvons-nous illustrer cet effet? Avec des photos! Pour ce faire, les rues des plus grandes villes de Suisse ont été photographiées. Dans ces rues, on a ensuite supprimé autant de voitures que possible dans la ville en question grâce aux clientes Mobility, en les remplaçant par des espaces verts par exemple.
L'image montre la rue des Vollandes dans le centre de Genève. Si Mobility s'installait dans cette rue, 21 voitures privées pourraient être éliminées.
Avec ou sans Mobility? Décide dans quelle rue tu préfères vivre:
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